Toutes les civilisations, la nôtre plus qu’aucune autre, ont enfermé la Beauté dans des formes. Peinture, architecture, musique, etc. Ce n’est qu’à l’aube du XXe siècle que l’homme européen a cru pouvoir s’en affranchir dans un geste de répudiation de la beauté, plongeant le monde dans une nuit sans poésie, à rebours du geste souverain de l’artiste refondant le monde et dont il nous appartient de retrouver le geste perdu.