Quatrième de couverture
Victor Sabran est un sabreur de femmes. Magali Bavoir, sa voisine de palier, se rêve croqueuse d’hommes. Si notre séducteur arpente les
jardins parisiens pour y cueillir la fleur de l’innocence, c’est dans son jardin secret que se réfugie cette trentenaire déçue par des amours virtuelles et frelatées. Lui, le bourreau des cœurs en guerre contre un féminisme conquérant et enragé. Elle, la victime autoproclamée d’une société misogyne et patriarcale. Tout semble opposer leurs deux journaux. Et pourtant, c’est à la même montagne qu’ils s’attaquent : celle du désir, dont on ne revient peut-être jamais.
Tantôt des Hespérides, tantôt désespéré, Le Jardin des femmes perdues nous invite à parcourir les sentiers édéniques et diaboliques de la convoitise. Après Un traître mot et Hôtel Beauregard, Thomas Clavel signe un troisième opus aux éditions de La Nouvelle Librairie.