Quatrième de couverture
Ecrivain dissident et historien méditatif, Dominique Venner était hanté par l’Histoire, à la fois comme acteur, témoin et bâtisseur inscrit dans la longue durée. Après les tumultes de la guerre d’Algérie, les épisodes de prison et l’engagement politique des jeunes années, l’essentiel de sa vie fut consacré à la quête des origines : retrouver, à travers les entrelacs millénaires de la culture, de la religion et de l’histoire, les permanences inaltérables de la civilisation européenne – pour en extraire les éléments de réponse à la crise mortifère dans laquelle l’Europe contemporaine s’est enfoncée. Plus riche que jamais, ce troisième volume des Carnets rebelles – le grand massif d’inédits posthumes – nous plonge au cœur du travail de Dominique Venner. Les réflexions philosophiques, historiques et littéraires y côtoient les travaux préparatoires de certaines de ses publications les plus célèbres, telles que Le Cœur rebelle ou son Histoire critique de la Résistance, mais également les méditations personnelles d’un insoumis aux prises avec les transformations de son époque. Il couvre la période allant de juillet 1991 à janvier 1996.
Écrivain et historien, Dominique Venner (1935-2013) a publié un grand nombre d’ouvrages, parmi lesquels Le Cœur rebelle (1994), Histoire et tradition des Européens (2002) et Un samouraï d’Occident. Le Bréviaire des insoumis (2013), réédité à la Nouvelle Librairie.