Quatrième de couverture
Notre époque est celle de la crise finale du spectacle fétichiste de la marchandise mondiale qui cesse de pouvoir produire sa propre reproduction et qui tente désespérément de faire diversion mensongère par la fabrication étatique d’un chaos terroriste, immigrationniste et sanitaire interminable, alimenté de mystification écologique ininterrompue… C’est ce vaste temps nouveau où le prolétariat, luttant d’abord en tant que classe contre les effets du Capital, va se remettre ensuite lui-même en question en portant le dépassement révolutionnaire de toutes les causalités de la capitalisation elle-même par la production ontologique du communisme en tant qu’abolition de toutes les classes et destruction de l’argent et de l’État comme immédiateté historique de l’humanité émancipée. Dans cette époque surprenante se poseront deux questions effectivement cruciales. La première : comment être à la hauteur révolutionnaire d’une activité historique radicale ? La seconde : selon quelles modalités opérationnelles des humains pourront se regrouper pour assumer la situation résultant de la mort du monde du règne de la quantité.
L’auteur y répond en rappelant simplement – dans la trajectoire historique du mouvement communard multiséculaire – que la qualité de l’Être en devenant le critère réel de la totalité de l’existence permettra, seule, à nos actes de nous mener le plus loin possible dans l’intelligence de l’émerveillement.
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